| | Les Grand Amiraux | |
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| Sujet: Les Grand Amiraux Sam 24 Avr - 15:50 | |
| Pierre Dumanoir le Pelley, Comte Dumanoir, vice-Amiral français, né à Granville (Manche), le 2 août 1770. Il entra dans la marine en 1787 comme élève de port, et servit en Amérique jusqu'en 1790. Nommé sous-lieutenant de port, il monta les frégates la Pomone et la Néréide, fît une campagne à la côte d'Afrique, passa sur la flûte le Dromadaire, en qualité d'enseigne, et partit pour Cayenne. Lieutenant en 1790 et adjoint à l'état-major de l'amiral Martin, il prit part, sur le Sans-Culotte, au combat que cet amiral livra aux Anglais sur l'Océan. En l'an III, il obtint le grade de capitaine de vaisseau et le commandement du Berwick, fit partie de la division du contre-amiral Richery qui s'empara d'un grand convoi sur la Méditerranée, et fut chargé ensuite d'aller détruire les établissements de pêche anglais à Terre-Neuve. Il serait peut-être juste de dire pour expliquer l'avancement rapide de cet officier, que le cousin germain de son père, Georges-René Pléville Le Pelley, était alors le ministre français de la Marine et des Colonies. Il était chef de division et commandait sous les ordres du contre-amiral Bouvet, le vaisseau la Révolution, lors de l'Expédition d'Irlande.Article détaillé : Expédition d'Irlande (1796).
Au moment où la frégate amirale, montée par Morard de Galles et Hoche, rencontra La Révolution, qui manœuvrait pour le retour, Le Scévola coulait bas d'eau ; Dumanoir recueillit une partie de l'équipage.Article détaillé : Campagne d'Égypte.
En l'an VI, il concourut aux préparatifs du départ de la flotte pour l'Égypte, monta le vaisseau le Dubois, et fut chargé de la direction du convoi attaché à l'armée ; arrivé à Alexandrie, le général en chef le nomma commandant du port. Le 18 thermidor de l'année suivante, le général en chef lui ordonna, ainsi qu'au contre-amiral Gantheaume, mais sans les mettre dans sa confidence, d'accélérer les approvisionnements des deux anciennes frégates vénitiennes, La Muiron et La Carrère, déjà armées et équipées, et de lui donner avis des mouvements de la croisière anglaise. Le 4 fructidor, le général en chef arriva à Alexandrie ; le 5, il monta à bord de La Muiron, le 6, on mit à la voile ; La Muiron portait le général Napoléon Bonaparte, le contre-amiral Gantheaume, Berthier, Andréossi, Monge, Berthollet, Denon, Lavalette et Bourienne ; la Carrère, qui accompagnait, avait à bord le chef de division Dumanoir, Lannes, Murat, Marmont et Parceval-Grandmaison. Le 17 vendémiaire an VIII, on débarqua à Fréjus. Élevé au grade de Contre-amiral quelques mois plus tard, il commanda, de l'an IX à l'an XI, plusieurs divisions à Brest, à Cadix et à Saint-Domingue. A l'époque du combat d'Algésiras (messidor an IX), il était chargé, à Cadix, des détails aux armements : on lui reprocha alors de ne pas avoir, par son manque d'énergie et d'activité, fait secourir à temps le contre-amiral Linois à la suite de la bataille d'Algésiras. En l'an XII, il fut fait membre de la Légion d'honneur le 17 frimaire, commandant de l'Ordre le 25 prairial suivant, et électeur du département du Finistère. À la mort de l'amiral Latouche-Tréville, le 2 fructidor an XII, Dumanoir commanda provisoirement l'escadre de Toulon, et il espérait conserver ce commandement, mais l'Empereur y appela l'amiral Villeneuve. On ne sut dans le temps à quoi attribuer cette mesure ; la lettre suivante en indique le motif : Saint-Cloud, 10 fructidor an XII. « Monsieur Decrès, ministre de la marine, « Il me semble qu'il n'y a pas un moment à perdre pour envoyer un amiral commander l'escadre de Toulon. Elle ne peut être plus mal qu'elle n'est aujourd'hui entre les mains de Dumanoir, qui n'est ni capable de maintenir la discipline dans une aussi grande escadre, ni de la faire agir. Il me paraît que, pour commander cette escadre, il n'y a que trois hommes : Bruix, Villeneuve et Rosily... « NAPOLEON. » Dumanoir se trouva au combat livré par Villeneuve à l'amiral Calder, sous la latitude du cap Finisterre, à cinquante lieues en mer, le 3 thermidor an XIII, au retour des Antilles. À la bataille de Trafalgar, le 29 vendémiaire an XIV, il resta spectateur immobile de l'action, quoiqu'il eut sous ses ordres les vaisseaux le Formidable, le Duguay-Trouin, le Mont-blanc et le Scipion, et s'éloigna sans avoir beaucoup combattu. Le 13 frimaire, étant arrivé en vue du cap Ortegal, il soutint, contre le commodore Strachan, un combat qu'il avait cherché à éviter, perdit ses quatre vaisseaux, et blessé à la tête, tomba au pouvoir des Anglais. Il resta quelque temps prisonnier sur parole et revint en France. Renvoyé devant un conseil d'enquête, puis au mois de mars 1809, devant un conseil de guerre maritime, il fut acquitté. Jusqu'en 1811, l'Empereur refusa de l'employer, tant l'opinion publique et la sienne.propre éprouvaient de prévention contre lui ; mais à cette époque il le nomma commandant de la marine à Dantzig, et le chargea de la direction des convois sur la Vistule. Pendant le blocus de Dantzig il rendit des services. Après un an de siège, la place capitula et Dumanoir, qu'un éclat de bombe avait blessé à la tête, fut emmené prisonnier à Kiev. C'est de là qu'il envoya son adhésion aux actes du sénat qui prononçaient la déchéance de l'Empereur et le rappel des Bourbons. Rentré en France au mois de juillet 1814, le roi le fit chevalier de Saint-Louis en 1815 ; créé comte le 6 septembre, il commanda la division navale qui conduisit le marquis de Rivière, ambassadeur de Louis XVIII à Constantinople. Une ordonnance du 22 août 1816 avait réduit le nombre des contre-amiraux de 21 à 12 ; en 1817, on dressa, conformément à cette ordonnance, la liste de ceux de ces officiers généraux qui devaient être conservés, et Dumanoir y figura le premier. Le 24 avril de la même année, il fut élevé à la dignité de grand officier de la Légion d'honneur. En 1819, Louis XVIII le nomma vice-amiral, et en 1820, le 23 août commandeur de Saint-Louis. Dumanoir avait été élu par le département de la Manche en 1815, et avait siégé au centre. Réélu en 1816, il avait conservé son mandat jusqu'en 1822. Il est mort subitement à Paris, dans la nuit du 6 au 7 juillet 1829 | |
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| Sujet: Re: Les Grand Amiraux Dim 25 Avr - 13:54 | |
| Cayetano Valdés y Flores (aussi connu sous le nom Valdés y Bazan) est un marin espagnol né en 1767 et mort en 1835 à Cadix. Il commande le Neptuno, un navire de ligne à 80 canons, durant la bataille de Trafalgar. État de service
- 1781 :
Engagement comme guardiamarina (aspirant de marine)
- 1782 :
Sert sous les ordres de l'amiral Luis de Cordova
- 1784 :
Sert sous les ordres de l'amiral Barceló
- 1789 à 1794 : Fait
partie de l'expédition d'Alessandro Malaspina à bord du Descubertia dans l'océan Pacifique
- 14 février 1797 : Commande le Pelayo lors du combat de
Saint-Vincent durant lequel il se distingue particulierement
- 1797 à 1799 : Sert
sous les ordres de l'amiral Mazarredo, pour la défense de Cadix
- 1799 :
Son escadre (escadre de l'amiral Gravina) est transférée à Brest où il prend le commandement du Neptuno (vaisseau qu'il commandera lors de la bataille de Trafalgar).
- 1802 :
Retour à Cadix de l'Escadre de l'amiral Gravina après avoir participé à une expédition franco-espagnol à Saint-Domingue
- 1805 :
Participe à la bataille de Trafalgar au commande du Neptuno au cours de laquelle il est blessé
- Prend le commandement de l'escadre de Cadix
- 1808 :
Prend le commandement de l'escadre de Carthagène.
- 1809 :
Il est nommé Lieutenant-général et capitaine-général de Cadix
- 1814 :
Internement au Château d'Alicante
- 1820 :
Retrouve son commandement de Cadix
- 1822 - 1823 : Élu
député des Cortès
- 1823 - 1833 : Exil
en Angleterre suite à son opposition à la monarchie absolue
- 1833 :
Retrouve son commandement de Cadix et est nommé capitaine général (capitán general) de l'armée d'Espagne
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| Sujet: Re: Les Grand Amiraux Mer 28 Avr - 12:18 | |
| Horatio Nelson, 1er vicomte Nelson, duc de Bronte, né le 29 septembre 1758 à Burnham Thorpe et mort le 21 octobre 1805 au large du cap de Trafalgar, est un vice-amiral [Note 2] britannique. Il s'est illustré pendant les guerres de la Révolution française et napoléoniennes notamment à la bataille de Trafalgar, où il remporte une victoire décisive pour la Grande-Bretagne, qui inaugure la suprématie de la Royal Navy, mais y perd la vie. Il est couramment appelé l’ Amiral Nelson par les Français et Lord Nelson par les Anglo-saxons. Nelson saura utiliser un large panel de tactiques, sans rester prisonnier de schémas traditionnels au contraire de nombre de ses collègues, ce qui lui vaut une réputation d'officier insubordonné. Son coup d'oeil et sa faculté d'adaptation lui permettent d'agir très rapidement, prenant souvent de vitesse ses adversaires. Il a le don d'inciter ses hommes à donner le meilleur d'eux-mêmes [Note 3]. Il attire le dévouement et la loyauté de ses subordonnés et en retour leur laisse une grande liberté d'action. Son courage physique dans les combats et l'image d'héroïsme que lui valent ses nombreuses blessures en font de son vivant même une figure vénérée par la population britannique. En 1798, alors qu'il est marié depuis 1787, Nelson a une liaison passionnée avec Emma Hamilton, l'épouse de l'ambassadeur britannique à Naples William Hamilton. Emma devient sa maîtresse, vit ouvertement avec lui à son retour en Angleterre et lui donne une fille, Horatia.Le 1 er août 1798, l’escadre française de l’expédition d’Égypte est surprise au mouillage en baie d'Aboukir par la flotte de Nelson. Nelson est immédiatement prêt pour la bataille répétant le sentiment qu'il avait déjà exprimé lors de la bataille de cap Saint-Vincent en déclarant : « Avant la même heure demain, je vais avoir acquis une pairie ou l'Abbaye de Westminster » [c 14]. Nelson à la bataille d'Aboukir, Daniel Orme. Les Français, ancrés dans une position de force, ont une puissance de feu supérieure à la flotte de Nelson. Comme il est déjà tard à l'arrivée des Britanniques, les Français ne s'attendent pas à être attaqués [c 15] avant le lendemain. Nelson ordonne cependant à ses navires d'engager le combat. La flotte française est ancrée à proximité d'une ligne de hauts-fonds, estimant que cela assurerait leur côté bâbord. Brueys pensait que les Britanniques attaqueraient le centre du côté tribord de sa flotte. Au lieu de cela, le capitaine Thomas Foley à bord du HMS Goliath découvre qu'il y a assez de place entre les hauts-fonds et les navires français pour qu'un navire britannique passe, et emmène son navire à l'écart. Les Français, bien que préparés, se retrouvent attaqués des deux côtés, la flotte britannique se séparant, certains suivant Foley, d'autres passant à tribord [c 16]. Nelson à bord du Vanguard engage le Spartiate passant sous le feu de l’ Aquilon. Nelson est avec Berry sur le pont quand à environ huit heures il est frappé au front par un morceau de balle française. Il tombe sur le pont, un morceau de peau couvrant son bon œil. Aveuglé et à demi étourdi, il croit qu'il va mourir. Il s'écrie : « Je suis mort. Rappelez-moi à ma femme ». Il est emmené pour être vu par le chirurgien [c 17]. Après avoir examiné la blessure, son état est jugé non critique et il est temporairement bandé. Pendant ce temps, les navires du bout de la ligne française, soumis au feu britannique des deux côtés, commencent à se rendre. Les navires britanniques continuent à descendre le long de la ligne, arrivant à portée de L'Orient, le navire amiral de 118 canons de Brueys et ancien Sans-Culotte qu'ils avaient déjà combattu près de Gênes. Sous le feu constant, L’Orient prend feu et explose un peu plus tard. Les autres navires français tentent de s'échapper et la bataille est gagnée. Nelson, qui est revenu sur le pont pour continuer à commander ses hommes, assiste à la fin de L'Orient[c 18]. La bataille d'Aboukir est un désastre pour l'ambition de Bonaparte à l'est et une importante victoire pour Nelson [Note 7]. La flotte française est détruite ou capturée hormis deux navires de ligne et deux frégates qui ont réussi à s'échapper. La bataille sera décisive pour la suite de l’expédition car privée de sa flotte, l’armée d’Orient restera prisonnière de l’Égypte [c 18]. Bonaparte tente de marcher vers le nord le long de la côte méditerranéenne, mais son armée est stoppée lors du siège de Saint-Jean-d'Acre par le capitaine William Sidney Smith. Napoléon doit laisser son armée et retourner en France en esquivant la surveillance des navires britanniques. | |
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| Sujet: Re: Les Grand Amiraux Jeu 29 Avr - 12:37 | |
| Charles de DURAND-LINOIS(Brest, 27 janvier 1761 - Versailles, 2 décembre 1848) Le 31 janvier 1803, il est nommé commandant des forces navales françaises à l'est du cap de Bonne Espérance. Le 6 mars 1803, peu avant la rupture de la paix d'Amiens et alors que la tension avec l'Angleterre est déjà très vive, il est promu Commandant des forces navales de l'Océan Indien et quitte Brest à la tête d'une petite division (un vaisseau de 74, le Marengo, 2 frégates de 40 canons, L'Atalanteet la Belle-Poule, et une frégate de 36 canons, la Sémillante). Sa mission est de voguer vers l'océan Indien, de récupérer les cinq comptoirs de l'Inde et d'y débarquer, avec quelques troupes, le nouveau gouverneur des " Etablissements français de l'Inde", le général de division Decaen. Mais la situation se dégrade très vite entre la France et l'Angleterre. Le 16 mars, Decrès fait appareiller d'urgence un brick, le Bélier, afin de rattraper Linois et de lui annoncer la reprise quasi-certaine de la guerre et l'ordre de se replier sur l'île de France. Le brick n'arrive à la colonie hollandaise du Cap que 40 heures après le départ de Linois vers Pondichéry... Le 11 juillet 1803, la division Linois arrive à Pondichéry, où se trouve déjà l'escadre anglaise des Indes, forte de 5 vaisseaux et 3 frégates. Les négociations commencent immédiatement, les Anglais refusant tout net de restituer quoique ce soit. Ce n'est que le 12 juillet que Linois est averti, par le Bélier qui vient d'arriver sur zone, de la reprise quasi-certaine de la guerre. Il apprend alors ses nouveaux ordres, qui sont de se replier sur l'île de France. Les Anglais connaissent déjà la situation politique depuis le 5 juillet... Encerclé à Pondichéry, il invite alors l'amiral anglais, Rainier, à venir déjeuner à son bord le lendemain, 13 juillet. Rainier accepte, mais découvre avec stupeur le lendemain que les Français ne sont plus là, ne laissant sur leurs mouillages que des chaloupes vides : Linois a profité de la nuit pour s'éclipser discrètement! Seuls 180 hommes et un colonel, débarqués trop tôt, ont dû être abandonnés aux Anglais. Ils seront ramenés en Europe par la suite. Le 21 août, il arrive enfin au port du Nord-Ouest, à l'île de France. La dépêche de Decrès annonçant la reprise de la guerre n'arrive à l'île de France que le 25 septembre. Le 8 octobre, il appareille pour chasser le commerce anglais. Sa division est amputée de l'Atalante mais renforcée par le Bélier. Il se rend sur la côte de Sumatra, passe par Batavia, monte jusqu'en mer de Chine, et finit par rentrer en mai 1804, après avoir fait de nombreuses prises. Il aura tout de même essuyé un échec près de Poulo d'Aor, laissant filer un riche convoi de 20 indiamen, prenant ces grands navires pour des navires de guerre. Cet épisode va l'opposer à Decaen, qui va ruiner sa réputation. "Il a rendu le pavillon français la risée de l'Europe (...) C'est l'honneur que je veux qu'on conserve, et non quelques morceaux de bois et quelques hommes. Je voudrais pour beaucoup que ce malheureux événement ne fût pas arrivé; je préférerais avoir perdu trois vaisseaux" : c'est ce qu'écrit Napoléon à Decrès, suite aux rapports qu'il reçoit sur cette affaire. Napoléon ordonne en outre de publier toutes les dépêches de Decaen dans le Moniteur, humiliant encore plus le pauvre Linois. Cela ne l'empêche pas de reprendre la mer du 20 juin au 31 octobre 1804, pour une seconde campagne. Il passe par les Comores, se dirige sur les Maldives et sur Ceylan, avant d'écumer le golfe du Bengale : il arrive en rade de Visigapatam où se trouve le vaisseau anglais de 60 canons Centurion, dont il force l'échouage. Le Marengo et la Sémillanteentrés en cale sèche, Linois reste à terre, envoyant ses frégates faire la course de façon isolée. Le 21 mai 1805, il quitte l'île de France avec le Marengo et la Belle Poule pour rentrer en France. Se ravitaillant sur ses prises, il attend plus d'un mois près de Sainte-Hélène en espérant capturer un convoi de Chine. Il apprend alors la chute du Cap, qui vient de tomber aux mains des Anglais, et décide de remonter en France. Le 13 mars 1806, il tombe de nuit sur l'escadre de Warren, qui recherche celle de Willaumez. Les Anglais, forts de 5 vaisseaux dont 1 trois ponts, de 2 frégates et d'1 corvette, finissent par avoir raison des Français, qui sont finalement pris après un violent combat. Grièvement blessé, Linois est capturé. Fait comte d'Empire en 1810, il ne sera échangé qu'en avril 1814, après la restauration de Louis XVIII. L'étonnante longueur de cette captivité ne pouvant que traduire une volonté de l'Empereur de ne pas le récupérer, en dépit de l'éloquent tableau de chasse qu'il aura acquis en deux ans (le comptoir anglais de Benkoelen dévasté, 25 navires marchands dont 5 indiamen capturés, au prix d'1 vaisseau de 74 et de 3 frégates). Le roi le nomme gouverneur de la Guadeloupe en avril 1815. Il se rallie à Napoléon durant les Cent-Jours, mais doit capituler devant l'attaque de l'île par les Anglais, le 10 août. Il sera jugé et acquitté par un tribunal militaire en mars 1816. Il part alors en retraite, et se retire à Versailles, où il meurt à l'âge de 95 ans, en 1848, après avoir été fait vice-amiral honoraire le 22 mai 1825. | |
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| Sujet: Re: Les Grand Amiraux Dim 2 Mai - 14:08 | |
| Don Carlos Federico y Gravina Napoli, (Palerme, en Sicile, 1756 - Cadiz, 1806), était un amiral espagnol pendant la Révolution américaine et guerres napoléoniennes , qui est décédé de blessures subies au cours de la bataille de Trafalgar . He was the son of Don Juan Gravina y Moncada and Doña Leonor Napoli y Monteaporto. Il était le fils de Don Juan Gravina y Moncada et de Doña Leonor Napoli Monteaporto y. His family originated in Sicily , then part of the Kingdom of Naples , and ruled by a Spanish Bourbon dynasty. Sa famille est originaire de Sicile , qui faisait alors partie du royaume de Naples , et gouverné par une dynastie des Bourbons d'Espagne. With the help of his uncle, the Neapolitan Ambassador to Spain, he entered the Spanish Navy, as a naval cadet aged 12. À l'aide de son oncle, l'ambassadeur de Naples à l'Espagne, il entra dans la marine espagnole, comme un cadet de la marine 12 ans. He then served as Midshipman on board the frigate Santa Clara in Brazil. Il a ensuite été aspirant à bord de la frégate de Santa Clara au Brésil. In the course of this voyage, he carried out his first command when obtaining the surrender of the castle of the Ascensión, located in a small barren island near Santa Catalina. Au cours de ce voyage, il a effectué son premier commandement lors de l'obtention de la cession du château de l'Ascension, située dans une petite île aride près de Santa Catalina. In 1777 he survived a boat accident in the River Plate in which most of the crew drowned. En 1777, il a survécu à un accident de bateau dans le Rio de la Plata dans lequel la plupart de l'équipage se sont noyés. In 1778, on returning to Spain, he served as a lieutenant aboard a ship suppressing Algerian pirates. En 1778, le retour en Espagne, il a servi comme lieutenant à bord d'un navire de la répression des pirates algériens. He then obtained his first command - the xebec San Luis - in which he participated in the Siege of Gibraltar between 1779 and 1782. Il a ensuite obtenu son premier commandement - le Xebec San Luis - dans laquelle il a participé au siège de Gibraltar entre 1779 et 1782. After promotion to Commander he participated in the expedition against Minorca (then under British control), distinguishing himself in the attack on the fortress of San Felipe. Après avoir été promu commandant, il a participé à l'expédition contre Minorque (alors sous contrôle britannique), se distinguant dans l'attaque de la forteresse de San Felipe. After this, and for other actions, he was promoted to Captain. Après cela, et pour d'autres actions, il a été promu au grade de capitaine. In 1785 he commanded a squadron operating against Algerian corsairs. En 1785, il commandait un escadron d'exploitation contre les corsaires algériens. In 1788 he travelled to Constantinople returning the Ambassador Jussuf Efendi. En 1788, il se rendit à Constantinople retour de l'ambassadeur Jussuf Efendi. While there he made and published various astronomical observations. Bien que qu'il a fait et publié diverses observations astronomiques. After the death of King Charles III , Gravina took the news to the colonies, where his frigate Paz recorded one of the fastest-ever times for passages from Cadiz to the Spanish possessions in Central America. Après la mort de Charles III , Gravina a pris des nouvelles dans les colonies, où sa frégate Paz a enregistré l'un des meilleurs temps jamais pour les passages de Cadix à les possessions espagnoles en Amérique centrale. In 1790 he was given command of a ship-of-the line, the Paula , in which he took part in the evacuation of Oran. En 1790, il reçut le commandement d'un vaisseau de la ligne, la Paula, dans laquelle il a participé à l'évacuation d'Oran. The same year saw him demonstrate his administrative talents for the first time. La même année, lui montrer ses talents administratifs pour la première fois. During the Nootka Sound Crisis , Gravina organised the formation of a Spanish fleet, the largest in 200 years. Au cours de la crise de Nootka Sound , Gravina a organisé la formation d'une flotte espagnole, la plus importante en 200 ans. However, the crisis was eventually solved by diplomatic means. Toutefois, la crise a été finalement résolu par la voie diplomatique. In 1793 Gravina, now second in command of the Spanish fleet, served alongside Admiral Hood in the Toulon . En 1793, Gravina, aujourd'hui commandant en second de la flotte espagnole, servi aux côtés de l'amiral Hood au Toulon . During this period of the alliance with England he also visited Portsmouth to study British methods and tactics. Au cours de cette période de l'alliance avec l'Angleterre, il a également visité Portsmouth pour étudier les méthodes et les tactiques de la Colombie. On his return to Spain he was appointed to command a squadron of four ships, with which he served in the Mediterranean taking an active part in the war against Revolutionary France. A son retour en Espagne, il a été nommé au commandement d'une escadre de quatre vaisseaux, avec lesquels il a servi dans la Méditerranée prennent une part active dans la guerre contre la France révolutionnaire. His flagship was the Hermenegildo (112). Son navire amiral est le Hermenegildo (112). In 1796 Spain signed the treaty of San Ildefonso with France, making peace and later entering the war against Britain. En 1796, l'Espagne a signé le traité de San Ildefonso avec la France, faire la paix et plus tard l'entrée en guerre contre l'Angleterre. Gravina fought in a squadron under Don Jose de Mazarredo. Gravina a combattu dans une escadrille de sous Don José de Mazarredo. In 1801 he was sent to San Domingo in the West Indies in command of the Spanish fleet during the Haiti expedition under the French General Charles Leclerc . En 1801, il fut envoyé à Saint-Domingue dans les Antilles à la tête de la flotte espagnole au cours de la Haïti expédition sous le général français Charles Leclerc . In 1804 he was appointed Ambassador to France in Paris. En 1804, il a été nommé ambassadeur de France à Paris. He accepted this position on one condition: if war should break out he would immediately return to the military. Il a accepté ce poste à une condition: si la guerre venait à éclater, il retourne immédiatement à l'armée. While in Paris he attended Napoleon 's coronation as Emperor, and established good relations with Denis Decres , the French Naval Minister. A Paris il a assisté à Napoléon le sacre de «l'empereur, et a établi de bonnes relations avec Denis Decrès , le ministre de la Marine française. Gravina played a major part in the negotiations of the Franco-Spanish pact which put the Spanish Navy at Napoleon's disposal. Gravina a joué un rôle majeur dans les négociations du pacte franco-espagnol qui a mis la marine espagnole à la disposition de Napoléon. For his services King Charles IV appointed him Commander-in-Chief of the Spanish Navy, and Gravina returned to Cadiz to hoist his flag in the ship Argonauta (80) in February 1805. Pour ses services roi Charles IV le nomme commandant en chef de la marine espagnole, et Gravina retournés à Cadix pour hisser son pavillon sur le navire Argonauta 1805 (80) en Février. [ edit ] Trafalgar [ modifier ] Trafalgar When Napoleon proposed to invade Great Britain, following the orders of the government of Godoy , Gravina was placed under the command of French Admiral Villeneuve , who took the Franco-Spanish fleet into Caribbean waters to confuse the English fleet. Lorsque Napoléon se proposait d'envahir la Grande-Bretagne, suivant les ordres du gouvernement de Godoy , Gravina a été placée sous le commandement de l'amiral français Villeneuve , qui a pris la flotte franco-espagnole dans les eaux des Caraïbes à confondre la flotte anglaise. The objective was to allow the crossing of the English Channel by 180,000 men that Napoleon had waiting around Boulogne . L'objectif était de permettre la traversée de la Manche anglais par 180.000 hommes que Napoléon avait d'attente autour de Boulogne . The deception did not have desired effect. La supercherie n'a pas eu l'effet désiré. On its return the Franco-Spanish fleet was intercepted by a fleet under Sir Robert Calder at the Battle of Cape Finisterre , losing the Spanish ships Firme and San Rafael . A son retour de la flotte franco-espagnole a été intercepté par une flotte commandée par Sir Robert Calder à la bataille du cap Finisterre , perdre les navires espagnols Firme et San Rafael. After this they took refuge in Cadiz by order of Villeneuve, contradicting the original plan of Napoleon. Après cela, ils se réfugient à Cadix par ordre de Villeneuve, en contradiction avec le plan original de Napoléon. The French soldiers never embarked, and were moved to the interior of Europe, freeing many of them to take part in the Battle of Austerlitz . Les soldats français n'ont jamais entrepris, et ont été déplacés à l'intérieur de l'Europe, en libérant beaucoup d'entre eux à prendre part à la bataille d'Austerlitz . In Cadiz relations between the supposed allies were poor. Dans les relations entre les Cadix alliés supposés étaient pauvres. Gravina and other Spanish commanders argued strongly with the French, who wanted to sail immediately, whereas the Spaniards recommended waiting for a more favourable conditions. Gravina et d'autres chefs espagnols a plaidé avec force avec les Français, qui voulaient à naviguer immédiatement, tandis que les Espagnols recommandé d'attente pour une des conditions plus favorables. Gravina was also concerned about the yellow fever epidemic that had left his ships short of men, as well as the lingering resentment against the French, for their perceived lack of support at the Battle of Cape Finisterre. Gravina était également préoccupé par l'épidémie de fièvre jaune qui a quitté ses navires à court d'hommes, ainsi que la rancune persistante contre les Français, pour leur manque de soutien lors de la bataille du cap Finisterre. The fleet finally left Cadiz on 20 October 1805, leading to the Battle of Trafalgar the next day. La flotte a finalement quitté Cadix le 20 Octobre 1805, conduisant à la bataille de Trafalgar le lendemain. During the battle Gravina, in his flagship Principe de Asturias , found himself attacked by three British ships at once. Au cours de la bataille Gravina, dans son phare Principe de Asturias, se trouva attaqué par trois navires britanniques à la fois. The main mast and mizzen were shot through, rigging and sails shot to pieces. Le mât principal et artimon ont été abattus par le biais, le gréement et les voiles tourné en morceaux. At about half past three in the afternoon Gravina's left arm was shattered by grapeshot, and seeing a looming defeat, he managed to gather ten ships around his flagship and fell back to Cadiz under tow. Vers trois heures et demie dans le bras gauche l'après-midi Gravina a été brisé par la mitraille, et, voyant une défaite imminente, il a réussi à rassembler une dizaine de navires autour de son phare et retomba à Cadix en remorque. Despite this Gravina was promoted to the highest military rank of Capitán-General de la Armada (Admiral of the Fleet), but he never fully recovered from his wounds and finally succumbed on 9 March 1806, aged 49. En dépit de cette Gravina a été promu au grade le plus élevé de Capitán général de la Armada (amiral de la flotte), mais il n'a jamais complètement remis de ses blessures et a finalement succombé le 9 Mars 1806, âgé de 49 ans. On his death-bed he said, "I am a dying man, but I die happy; I am going, I hope and trust, to join Nelson , the greatest hero that the world perhaps has produced." Sur son lit de mort, il dit: «Je suis un homme de mourir, mais je meurs content, je vais, je crois et j'espère, pour rejoindre Nelson , le plus grand héros que le monde a peut-être produite. A son tour le Gibraltar Chronicle payé le tribut suivants, "L'Espagne perd à Gravina le distingué officier le plus dans sa marine, l'une sous le commandement duquel ses flottes, quoique parfois battus, toujours combattu de manière à mériter les éloges de leurs vainqueurs.Comme Napoléon écrit dans une lettre du 11 août 1805: «Gravina est tout le génie et la prise en combat. Si Villeneuve avait eu ces qualités, la bataille de Finisterre aurait été une victoire complète». Gravina Gravina est enterré au Illustres Panteon Marinos de San Fernando, Cadiz. | |
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| Sujet: Re: Les Grand Amiraux Ven 14 Mai - 10:25 | |
| NaissanceDécèsOrigineAllégeanceArmeGradeServiceConflitsFaits d’armesDistinctionsAutres fonctions Denis Decrès | | Image : Vice Amiral Denis , Duc Decrés (1761-1820), Ministre de la Marine en 1801 - Par René Théodore Berthon | 18 juin 1761 Châteauvillain (Haute-Marne) | 7 décembre 1820 (à 59 ans) Paris | Français | Royaume de France Royaume des Français République française Empire français Royaume de France Empire français (Cent-Jours) | Marine | vice-amiral | 1779-1815 | Guerre d'indépendance américaine Guerres de la Révolution | Bataille des Saintes Expédition d'Irlande Expédition d'Égypte Bataille d'Aboukir | Légion d'honneur | Ministre de la Marine | modifier | Denis Decrès, né le 18 juin 1761 à Chaumont (Haute-Marne), décédé le 7 décembre 1820 à Paris, est un marin d'Empire. Préfet maritime à Lorient, ministre de la marine en 1802, vice-amiral, sénateur, grand officier et chef de la 10 e cohorte de la Légion-d'Honneur en 1804, inspecteur général des côtes de la Méditerranée, grand cordon de la Légion-d'Honneur en 1805, grand officier de l'Empire en 1806, comte puis duc en 1813. Il est assassiné à Paris, le 7 décembre 1820. Le Combattant Avant la Révolution française Des traditions de famille, des études spéciales, un goût prononcé pour le service de la marine, le déterminèrent, bien jeune encore, à suivre cette carrière. Il y fut admis comme aspirant, le 17 avril 1779; son zèle, son intelligence précoce le firent nommer Garde-marine en 1780. Embarqué sur la frégate le Richemond, qui faisait partie de l'escadre aux ordres de François Joseph Paul, marquis de Grasetilly, comte de Grasse, il se signala dans les divers combats que cette armée navale eut à soutenir dans la mer des Antilles. Il donna surtout des preuves d'une rare intrépidité à la journée du 12 avril 1781. [1]L'année suivante, il est présent à la bataille des Saintes, en 1782 et se fait remarquer au combat où deux frégates s'emparèrent du vaisseau britannique l'Argo. Ses talents, ses services, les missions dont il s'était acquitté avec autant de zèle que de succès, lui valurent, le 25 mars 1786, le grade de lieutenant de vaisseau. Embarqué bientôt après sous les ordres de M. Kersaint, pour aller constater la réalité des lacs de bitume de la Trinité espagnole, Decrès envoya au maréchal de Castries, alors ministre de la marine, le journal des opérations relatives à cette expédition. De retour en France, au moment où la Révolution française venait d'éclater, il reçut presque aussitôt l'ordre de se rendre à Brest, où il passa sur la Cybèle comme major de la division que M. de Saint-Félix conduisait dans les mers de l'Inde. Sous la Révolution française Le 6 février 1792, l'escadre, croisant en vue de la côte de Malabar, s'aperçoit qu'un bâtiment de commerce français, capturé par les Marattes, était amariné sous la protection du fort Coulabo. Decrès propose à l'amiral de l'enlever à l'abordage [2]. En 1793, lorsque la guerre venait d'éclater, que les colonies étaient en proie à toutes les convulsions de la métropole, l'amiral Saint-Félix chargea Decrès d'aller en France pour rendre compte au gouvernement de leur situation, pour solliciter et amener promptement des secours. Il arriva le 10 février 1794 à Lorient, où il apprit tout à la fois que, promu au grade de capitaine au mois de janvier 1793, il avait été destitué par mesure générale, il est arrêté immédiatement comme noble. On le conduisit à Paris, où il fut assez heureux pour échapper à la présomption dont il était menacé. Il se rendit ensuite au sein de sa famille, où il vécut dans l'isolement jusqu'au mois de juin 1795, époque à laquelle il fut réintégré dans son grade de capitaine de vaisseau et nommé au commandement du Formidable, qui devait faire partie de l'expédition d'Irlande. Il assiste en tant que chef de division au ratage de l'expédition d'Irlande en 1796. Cette tentative n'ayant pas réussi, on désarma l'armée navale, et Decrès resta dans l'inaction jusqu'au moment où les préparatifs d'une expédition lui offrirent l'occasion de s'associer aux conquérants de l'Égypte. Sous le Consulat et le Premier Empire "Le combat du Guillaume Tell au large de Malte, le 30 mars 1800", représenté sur la tombe de Decrès au Père Lachaise. C'est de cette époque que date sa nomination au grade de contre-amiral en 1798. Commandant en cette qualité de l'escadre légère de l'armée navale de l'Expédition d'Égypte aux ordres de Brueys, il fut chargé, à l'attaque de Malte, de protéger le débarquement des troupes et de soutenir un engagement avec les galères de l'île. [3]A la bataille d'Aboukir sur le Guillaume Tell, il ne montra pas moins de dévouement et d'intrépidité. [4] Il parvient à se réfugier à Malte. Les forces britanniques ne tardèrent pas à se réunir devant ce port pour en former le blocus. Decrès prit le commandement des avant-postes. Pendant dix-sept mois, les troupes françaises eurent à soutenir les assauts réitérés de l'ennemi. Mais chaque jour, la position française devenait plus critique, une partie de l'île était tombée au pouvoir des Britanniques, les subsistances devenaient très rares, et le nombre des malades se multipliait avec une effrayante rapidité. Attaqué par trois vaisseaux britanniques alors qu'il essaie de forcer le blocus, ayant à son bord 200 malades et 1 000 soldats, il est obligé de se rendre après avoir mis deux de ses adversaires hors de combat et perdu la moitié de son équipage. Échangé, il est honoré d'un sabre que lui remet personnellement le Premier consul. [5] L'organisateur À son retour en France, Bonaparte le nomma préfet maritime de Lorient, et lui confia bientôt après le commandement de l'escadre de Rochefort. L'habileté avec laquelle le contre-amiral s'acquitta de ses diverses fonctions le fit appeler au ministre de la Marine le 1 er octobre 1801. Ce poste était difficile dans la situation déplorable où se trouvaient les forces navales françaises. [6]Il joua rôle considérable dans l'organisation de la marine mais sa jalousie l'aurait fait choisir des collaborateurs médiocres. Le nouveau ministre embrasse d'un coup d'œil toutes les calamités qui pèsent sur la marine française. [7]Le premier Consul, satisfait de la vigilance, de l'activité de Decrès, le stimule, l'encourage, et le rassure sur les machinations dont il craint de devenir la victime. [8]Cet homme, dont les conceptions hardies commençaient déjà à étonner le monde, faisait rassembler des troupes considérables sur les côtes de l'Océan pour tenter une invasion en Grande-Bretagne. Decrès se mit à l'œuvre avec activité. [9] Mais la descente ne s'effectua point; d'abord, parce que les flottes françaises, au lieu de venir la protéger, se rendirent à Cadix, et que les escadres britanniques, qui étaient dans les Indes, arrivèrent inopinément dans cette conjoncture. Villeneuve, malgré les ordres du ministre de la marine, ne craignit pas d'affronter les Britanniques, et une partie de la marine française périt à la bataille de Trafalgar. Decrès fut profondément affecté de cette catastrophe, mais son courage n'en fut point ébranlé. [10]Decrès est aussi connu pour les immenses travaux qu'il a sinon conçus, du moins fait exécuter à Venise, à Niewdep, à Flessingue, à Anvers, et surtout à Cherbourg. L'espoir de venger la France de l'humiliation de 1814, de lui faire recouvrer ces anciens monuments de sa puissance, fut sans doute le motif qui le décida à accepter de nouveau le ministère lors du retour de Napoléon en 1815. À la seconde Restauration, il rentra dans la vie privée. Il meurt des suites d'un incendie allumé par un domestique ayant voulu le tuer pour le voler. [11]Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (division 39). | |
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| Sujet: Re: Les Grand Amiraux Sam 22 Mai - 13:11 | |
| Julien Marie Cosmao-Kerjulien
| | 27 novembre 1761 Châteaulin | 17 février 1825 Brest | France | marine | contre-amiral | 1776-1816 | guerre d'Amérique, guerres de la Révolution et de l'Empire | Tonnant, Pluton | Trafalgar | commandant de la Légion d'Honneur | nom gravé sous l'Arc de triomphe de l'Étoile | Préfet maritime à Brest | | Julien Marie Cosmao Kerjulien (27 novembre 1761 à Châteaulin - 17 février 1825 à Brest) était un amiral français. // Officier bleu pendant la Guerre d’AmériqueIl est volontaire sur l’Aigrette en 1776 et fait campagne aux Antilles. Il navigue ensuite, avec Corentin de Leissègues [1] sur divers petits bâtiments : l’Oiseau, la Nymphe puis l’Hirondelle. Lors d'une campagne en Guyane, il participe à un combat contre deux corsaires (novembre 1780) puis un autre combat en décembre 1780. Il est lieutenant de frégate auxiliaire en 1781 et embarque sur le Pégase et participe aux combats près de l'île Saint-Christophe) avec l’escadre de Grasse en janvier 1782. En 1786, il fait partie de la première promotion des sous-lieutenant de vaisseau, grade créé pour intégrer de façon permanente au corps des officiers de marine du roi des roturiers anciens officiers auxiliaires (« officiers bleus »). Il navigue sur différents bricks et frégates jusqu’en 1792, notamment comme second capitaine sur la Précieuse. Acte de naissance de Julien-Marie Cosmao Kerjulien - Mairie de Châteaulin (Finistère) Capitaine sous la Révolution [modifier]Il est promu lieutenant de vaisseau au 1 er janvier 1792. Il commande la frégate la Sincère dans l’escadre aux ordres de Truguet et participe aux différentes actions de la campagne, notamment aux bombardements d’Oneglia et de Cagliari (Sardaigne). Il est capitaine de vaisseau à compter du 1 er avril 1793 et exerce plusieurs commandements à Toulon. En 1795, il commande le vaisseau le Tonnant (80 canons) dans l’escadre de l’amiral Martin et participe à toute sa campagne. Il s’empare de la frégate anglaise l’Alceste puis participe aux combats du cap Noli (mars 1795) et des îles d'Hyères (juillet 1795). Chef de division en 1797, il commande le Jemmapes en 1798 ; il participe au « raid de Bruix" en 1799 de Brest à Toulon et retour. Dans l’escadre Dordelin à compter de 1801, il croise jusqu’à Saint-Domingue au commandement des vaisseaux l’Océan, puis l’Alliance et enfin le Mont Blanc. Contre amiral sous l’Empire Il commande le vaisseau Pluton dans l’escadre de Villeneuve en 1805 ; il s’empare du rocher du Diamant à la Martinique (juin 1805). Lors du combat du cap Finisterre ou "bataille des Quinze-Vingt" (juillet 1805), il sauve le vaisseau espagnol le Fermo. Il participe activement à la bataille de Trafalgar et reprend deux vaisseaux espagnols dont les Anglais s’étaient emparés et se réfugie à Cadix. Ceci lui vaut d’être honoré du titre de Grand d'Espagne de 1 re classe et d’être promu contre-amiral en mai 1806. Il commande ensuite une division de l’escadre Ganteaume à Toulon. Il effectue plusieurs campagnes en Méditerranée, vers Corfou puis assure le ravitaillement de Barcelone (1809) Baron d'Empire en 1810, il commande une division de l’escadre de l’Escaut en 1811 puis sert de nouveau à Toulon de 1812 à 1814. Il livre combat à la flotte anglaise de l'amiral Edward Pellew qui fait le blocus du port, en novembre 1813 et en février 1814. Il succède à Émeriau au commandement de l’escadre de Toulon pendant la Première Restauration. Il est préfet maritime à Brest aux Cent-Jours et nommé pair de France. Il est proscrit à la Seconde Restauration et mis à la retraite au 1 er janvier 1816. Il était franc-maçon, membre de la Loge l'Heureuse Rencontre de Brest à compter de 1789. Il est l'un des rares marins dont Napoléon 1 er fit l'éloge : " Il est le meilleur marin de l'époque et personne n'a été plus brave et plus généreux" | |
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| Sujet: Re: Les Grand Amiraux Mer 9 Juin - 11:56 | |
| Collingwood Cuthbert, Collingwood Cuthbert Collingwood, detail of the painting by Henry Howard at Greenwich Hospital. Cuthbert Collingwood, détail de la peinture de Henry Howard à l'hôpital de Greenwich. | 26 September 1748 ( 1748-09-26 ) 26 Septembre 1748 (26/09/1748) Newcastle upon Tyne , England Newcastle upon Tyne , Angleterre | 7 March 1810 (aged 61) 7 Mars 1810 (61 ans) Ville de Paris , Ville de Paris , off Port Mahon hors Port Mahon | Royal Navy Admiral Royal Navy amiral |
Le vice-amiral Cuthbert Collingwood, 1 er baron Collingwood (26 Septembre 1748 au 7 Mars 1810) était un amiral de la Royal Navy , remarquable en tant que partenaire avec Horatio Nelson dans plusieurs Colombie victoires des guerres napoléoniennes , et souvent comme le successeur de Nelson dans les commandes . // Premières années Son éducation a été à la Royal Grammar School, Newcastle . À l'âge de onze ans, il prit la mer en tant que bénévole à bord de la frégate HMS Shannon sous le commandement de son cousin le capitaine (plus tard amiral ) Richard Brathwaite (ou Braithwaite), qui s'est chargé de son éducation nautiques. Après plusieurs années de service en vertu de capitaine Brathwaite et une courte période attachée à HMS Lenox , un garde-navire à Portsmouth commandée par le capitaine (plus tard amiral ) Robert Roddam , Collingwood navigué à Boston en 1774 avec l'amiral Samuel Graves , où il a combattu dans la Colombie brigade navale à la bataille de Bunker Hill (Juin 1775), et fut ensuite nommé lieutenant. [1] En 1777, première rencontre avec Nelson Collingwood lorsque les deux servi dans HMS Lowestoffe . Deux ans plus tard, Collingwood succédé à Nelson en tant que commandant [2] du HMS Badger , et l'année suivante il a de nouveau succédé à Nelson comme capitaine de vaisseau [3] du HMS Hinchinbrook , une petite frégate. Nelson avait été le commandant de bord d'une expédition ratée de traverser l'Amérique centrale de l' océan Atlantique à l' océan Pacifique par la navigation des bateaux le long de la rivière San Juan , le lac de Nicaragua , et lac de Léon . Nelson a été affaibli par la maladie et a dû se remettre avant d'être promu à un plus grand navire, et Collingwood lui succéda dans le commandement de la Hinchinbrook et mis le reste de l'expédition de retour à la Jamaïque . [ edit ] First major command [ modifier ] Première commande importante Après avoir commandé une autre petite frégate , HMS Pelican dans lequel il a fait naufrage par un ouragan en 1781, Collingwood a été promu à 64 armes à feu vaisseau de ligne HMS Sampson , et en 1783 il est nommé à HMS médiateur et envoyé sur les Antilles , où il est resté jusqu'à la fin de 1786, encore une fois, avec Nelson, la prévention de l'Amérique des navires de commerce avec les Antilles. En 1786, Collingwood est retourné en Angleterre, où, à l'exception d'un voyage aux Antilles, il est resté jusqu'en 1793. Cette année-là, il fut nommé capitaine de l' HMS Prince , le phare de la contre-amiral George Bowyer dans la flotte de la Manche. Le 16 Juin 1791, Collingwood a épousé Sarah Blackett, fille d'un riche marchand de Newcastle et la petite-fille de Robert Roddam (1711-1744) et de Hethpoole Caldburne (à ne pas confondre avec son ancien commandant, l'amiral tard, Robert Roddam). En tant que capitaine du HMS Barfleur , Collingwood était présent à la première Glorieuse de Juin . A bord de l' Excellent , il a participé à la victoire de la bataille du cap Saint-Vincent (1797) , instituant une bonne réputation dans la flotte pour sa conduite pendant la bataille. Après le blocus de Cadix , il revient pour quelques semaines à Portsmouth à réparer.Au début de 1799 Collingwood a été élevé au rang de contre-amiral , [4] , et hisser son drapeau dans le triomphe , rejoint la flotte de la Manche , avec laquelle il a procédé à la Méditerranée , où les forces navales principales de la France et l'Espagne ont été assemblés. Collingwood a continué de travailler activement à bloquer l'ennemi jusqu'à ce que la paix d'Amiens lui a permis de retourner en Angleterre. Avec la reprise des hostilités avec la France au printemps . D'abord, il bloqua la flotte française au large de Brest. En 1804, il a été promu vice-amiral [5] . Près de deux ans ont été dépensés ici, mais avec Napoléon de planification et d'équiper ses forces armées d'invasion de la Grande-Bretagne, la campagne qui devait décider du sort de l'Europe et le commandement de la mer était de départ. La flotte française ayant appareillé de Toulon , l'amiral Collingwood a été nommé au commandement d'une escadre, avec ordre de les poursuivre. The combined fleets of France and Spain , after sailing to the West Indies, returned to Cadiz. Les flottes combinées de France et l'Espagne , après avoir navigué dans les Antilles, retour à Cadix. Sur leur chemin, ils rencontrent les petites escadron Collingwood hors Cadix . Il n'avait que trois navires avec lui, mais il a réussi à éviter la poursuite, bien que poursuivi par seize vaisseaux de ligne. Avant la moitié des forces de l'ennemi était entré dans le port, il a repris le blocus, en utilisant de faux signaux à déguiser la petite taille de son escadron. Il fut bientôt rejoint par Nelson, qui espérait attirer la flotte combinée à un engagement majeur. Bataille de Trafalgar La flotte combinée appareille de Cadix, en Octobre 1805. La bataille de Trafalgar a immédiatement suivi. Villeneuve , l'amiral français, a établi sa flotte sous la forme d'un croissant. La flotte britannique portait à deux lignes distinctes, l'une dirigée par Nelson à la victoire, et l'autre par Collingwood dans le Royal-Sovereign . Le Royal Sovereign a été le plus rapide voilier, principalement parce que sa coque a été donné une nouvelle couche de cuivre qui manquait le frottement de la vieille, bien utilisé le cuivre et était donc beaucoup plus rapide. Après avoir attiré beaucoup d'avance sur le reste de la flotte, il a été la première activité. "Voir", a déclaré Nelson, pointant vers le Royal Sovereign, comme elle pénétré dans le centre de la ligne ennemie, voir comment cet homme noble Collingwood exerce son navire à l'action! " C'est probablement au même moment que Collingwood, comme si, en réponse à l'observation de son grand capitaine, dit à son capitaine, «Qu'est-ce que Nelson donne d'être ici?" Le Royal Sovereign fermé navire amiral espagnol et l'a tiré ses bordées avec une telle rapidité et la précision de la Santa Ana que le navire espagnol était sur le point de couler presque devant un autre navire britannique avait tiré un pistolet. Plusieurs autres navires venus de l 'aide de Santa Ana et un ourlet dans le Royal Souverain de tous les côtés, ce dernier, après avoir été gravement endommagé, a été soulagé par l'arrivée du reste de l'escadre britannique, mais a été laissée incapable de manoeuvrer. Not long afterwards the Santa Ana struck her colours. Peu de temps après, le Santa Ana a frappé ses couleurs. On the death of Nelson, Collingwood assumed the command-in-chief, transferring his flag to the frigate Euryalus . A la mort de Nelson, Collingwood prit le commandement en chef, de transférer son pavillon sur le Euryale frégate. Sachant que d'une violente tempête était en vue, Nelson avait prévu que la flotte devrait ancrer après la bataille, mais Collingwood choisi de ne pas émettre un tel ordre: de nombreux navires britanniques et des prix ont été tellement endommagés qu'ils n'étaient pas en mesure de l'ancre, et Collingwood concentré ses efforts sur la prise en remorque des vaisseaux endommagés. Dans la tempête qui a suivi, la plupart des prix ont fait naufrage sur la côte rocheuse et d'autres ont été détruits pour empêcher leur récupération, si aucun navire britannique a été perdu. Le 9 Novembre 1805 Collingwood a été promu vice-amiral de l'escadre rouge et élevé à la pairie en tant que baron de Collingwood et Caldburne Hethpool . Il a également reçu l'Merci des deux Chambres du Parlement et a reçu une pension de 2000 £ par an. Ensemble, avec tous les autres capitaines et des amiraux, il a également reçu une médaille d'or, son troisième, après celles de la première Glorieuse de Juin et le cap Saint-Vincent ; que Nelson et Sir Edward Berry partager la distinction de trois médailles d'or pour le service au cours les guerres contre la France. Lorsqu'il n'est pas en mer, il résidait à Collingwood House dans la ville de Morpeth qui se trouve à environ 15 miles au nord de Newcastle upon Tyne . Il est connu pour avoir fait remarquer, "chaque fois que je pense que je suis d'être heureux à nouveau, mes pensées me porter Retour à Morpeth. [ edit ] Later career [ modifier ] Fin de carrière De Trafalgar jusqu'à sa mort, aucune grande action navale s'est déroulée, mais Collingwood était occupé à d'importantes opérations politiques et diplomatiques dans la région méditerranéenne, dans laquelle il a fait preuve de t Son état de santé, cependant, qui avait commencé à décliner avant de Trafalgar en 1805, semblait tout à fait à l'échec, et il a maintes fois demandé à être relevé de son commandement, qu'il pouvait rentrer chez eux. Toutefois, le gouvernement d'urgence lui a demandé de rester, au motif que son pays ne pouvait se passer de ses services. Ce traitement a été considérée comme sévère. [ citation nécessaire ] Après plusieurs tentatives infructueuses pour amener la flotte française à prendre la mer dans la tentative d'achever la destruction des navires ennemis, il mourut d'un cancer à bord du Ville de Paris , au large de Port Mahon , le 7 Mars 1810. Évaluation Le Monument à Collingwood Tynemouth Collingwood's merits as a naval officer were in many respects of the first order. bien-fondé de Collingwood comme officier de marine ont été à bien des égards du premier ordre. He was considered inferior to Nelson in original genius and romantic daring. [ citation needed ] However he was Nelson's equal or even superior in seamanship, in general talent, and strategic thinking. [ citation needed ] His political judgement was remarkable and he was consulted on questions of general policy, of regulation, and even of trade. Il a été considérée comme inférieure à Nelson, dans le génie original et romantique audace. [ citation nécessaire ] Cependant, il a été Nelson égal ou même supérieur au matelotage, de compétences générales, et la réflexion stratégique. [ citation nécessaire ] Son jugement politique a été remarquable et il a été consulté sur questions de politique générale, de la réglementation, et même du commerce. He was opposed to impressment and to flogging and was considered so kind and generous that he was called "father" by the common sailors. Il est opposé à l'enrôlement et à la flagellation et était considéré comme tellement bon et généreux qu'il est appelé «père» par les matelots. Between Nelson and Collingwood a close friendship existed, from their first acquaintance in early life until Nelson's death at Trafalgar; and they lie side by side in St Paul's Cathedral . Entre Nelson et Collingwood une étroite amitié existant, de leur première rencontre en début de vie jusqu'à la mort de Nelson à Trafalgar, et ils se trouvent côte à côte dans la cathédrale St Paul . As Lord Collingwood died without male issue, his barony became extinct at his death. Comme lord Collingwood est mort sans descendance mâle, sa baronnie s'est éteint à sa mort. Dudley Pope concerne un aspect de Collingwood, au début du chapitre trois de sa vie dans la Marine Nelson: «Le capitaine Cuthbert Collingwood, qui deviendra plus tard un amiral et Nelson commandant en second à Trafalgar, avait son domicile à Morpeth, dans le Northumberland, et quand il il a été en demi-solde ou en congé, il aimait à se promener sur les collines avec son Bounce chien. Il a toujours commencé avec une poignée de glands dans ses poches, et en marchant, il serait de presse un gland dans le sol quand il a vu une bonne place pour un chêne de croître. Certains de ces chênes, il planta sont probablement encore plus en plus plus d'un siècle et demi plus tard prêt à être coupé de construire des navires de la ligne à un moment où les sous-marins nucléaires patrouillent les mers, en raison de Collingwood fin était de s'assurer que la Marine ne voudrais jamais de chênes pour construire les navires de combat sur lequel la sécurité du pays dépend. " Monuments L'Ecole de guerre navale de la Royal Navy est commandé comme HMS Collingwood , la maison à la formation pour la guerre, de l'ingénierie et les disciplines d'armes de communication. La ville de Collingwood, en Ontario, sur la baie Georgienne , dans la banlieue de Collingwood dans la ville australienne de Melbourne et le canal de Collingwood , au Canada, sont nommés en son honneur. Aussi une ville dans l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande est nommé d'après lui. Une statue érigée en son honneur donne sur la rivière Tyne, dans la ville de Tynemouth , au pied de laquelle sont quelques-uns des canons de la Royal Sovereign . L'une des quatre maisons de la vieille école de Collingwood de la Royal Grammar School, Newcastle est nommé d'après lui. L'une des cinq maisons de la Colombie école publique Churcher's College est nommé d'après lui, comme est l'un des onze maisons à L'Hôpital Royal School Mars 2010 a vu la célébration du 200e anniversaire de la mort de Collingwood et un certain nombre de grands événements ont été organisés par «Collingwood 2010" sur le Tyneside , en Morpeth et l'île de Minorque . | |
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